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Je profite d’une pause entre deux consultations dans mon cabinet pour réaliser une vidéo sur quelque chose qui est souvent apparu dans la journée aujourd’hui et qui me paraît très intéressant, c’est la confusion qu’on peut avoir souvent, qu’on peut ressentir quand on ressent un mal-être, on n’est pas bien et cette confusion apparaît quand nous confondons le symptôme et la cause.
La cause de notre souffrance et puis, le symptôme, c’est ce qu’on va ressentir et ce sont toutes les réactions, les conséquences de ce mal-être intérieur.
Alors, ça peut parfois toucher des choses qui sont fondamentales pour nous, qui sont une grande source de souffrance en tout cas, c’est par exemple, si j’ai des troubles du sommeil, si je suis anxieux, si j’ai des problemes de poids ou si j’ai des problemes de dépendance à la cigarette ou à l’alcool; on va voir que dans beaucoup de cas, ce ne sont que des symptômes et il est important si on veut vraiment se libérer de toutes ces tensions ou ces dépendances ou ces souffrances, c’est de pouvoir aller voir beaucoup plus profond et aller voir la cause en fait.
Et, on a tendance souvent à confondre la cause et le symptôme et le symptôme c’est vraiment, si vous voulez, ce qui apparaît en surface; on peut prendre une analogie, c’est par exemple une mauvaise herbe; une mauvaise herbe on va la voir, c’est en surface, on la voit et on peut l’arracher et puis elle peut repousser et puis on va de nouveau l’arracher et puis on va tellement l’arracher à cet endroit là qu’elle peut repousser ailleurs et en fait, quelle est la cause de cette mauvaise herbe, ce n’est pas la mauvaise herbe en elle-même, c’est la racine à l’intérieur, en dessous, qu’on ne voit pas qui fait en sorte que les symptômes apparaissent et donc, bien sûr qu’on peut travailler sur le symptôme, on va l’enlever, c’est vrai, mais ce qui est important aussi c’est d’aller enlever la racine si on ne veut plus que ça revienne et ici je prends l’analogie d’une mauvaise herbe, je pense qu’il n’y a pas vraiment de mauvaises herbes dans la nature, je veux dire, toutes les plantes peuvent être belles, mais ici l’idée c’est de prendre cette analogie pour comprendre qu’une mauvaise herbe dans ce cas ci, c’est une souffrance, c’est quelque chose qui ne nous plaît pas et on va essayer de ne plus la sentir, d’enlever le symptôme et aujourd’hui, on est dans une médecine assez symptomatique puisque en fait on a tendance à traiter le symptôme, à l’enlever.
Une migraine, des problemes de sommeil, ok, on prend un somnifere, on prend quelque chose mais on n’a pas traité vraiment la cause profonde de ça et souvent, qu’est ce qui va se passer, c’est que ça va continuer ou ça va apparaître d’une maniere différente, le symptôme va être déplacé comme on dit et donc c’est important de pouvoir aller voir profondément, quelle est la racine de notre mal-être ?
Parce ce qu’on peut, par exemple, travailler sur le symptôme qu’est la cigarette si on veut arrêter de fumer, ok, on va parler hypnose par exemple par différentes méthodes, moi j’utilise l’hypnose par contre, mais il y a d’autres méthodes.
Par l’hypnose, on va travailler sur le symptôme qui est d’arrêter de fumer, on a un comportement de prendre des cigarettes et par différentes méthodes, on n’aura plus du tout envie de prendre la cigarette mais si on n’a pas traité au fond la cause qui a amené cette envie de fumer, qui peut être un mal-être, qui peut être une solitude, qui peut être une tristesse ou une souffrance ou un lien avec quelqu’un qui fumait, qu’on appréciait beaucoup peu importe, si on n’a pas traité cette racine et bien le symptôme va réapparaître autrement par exemple, on va peut-être arrêter de fumer mais on va peut-être prendre du poids, on va manger à la place parce que en fait il y a un besoin intérieur peut-être de plaisir ou peut-être d’être rassuré ou peut-être simplement de s’anesthésier car souvent on va utiliser l’alcool ou la cigarette puisque je parle de ça pour l’instant comme des anesthésiants, comme une façon si vous voulez de ne plus ressentir le mal-être intérieur.
Et le mal-être intérieur, c’est justement cette cause profonde sur laquelle on devrait idéalement travailler pour éradiquer la souffrance.
Même chose sur les troubles du sommeil, on peut prendre des médicaments mais ok, on va peut être s’endormir avec le somnifere, mais on va peut être se disputer régulierement, on va peut être rentrer en conflit, on va devenir anxieux par exemple.
Alors, on peut prendre des anxiolytiques, on travaille de nouveau sur le symptôme mais vous voyez que ça risque de continuer et en médecine, c’est pareil, on peut avoir des boutons sur la peau, on va essayer de trouver plein de produits et puis, j’ai déjà eu des personnes qui sont venues chez moi qui ont été envoyées par des médecins, elles ont des problemes de peau, on dit que c’est psychosomatique, ok, et tous les médicaments et toutes les pommades ne suffisent pas, car en fait, il y a une cause interne qui est psychologique et alors parfois il y a des toxines dans le corps aussi qui font que la peau étant un émonctoire, ça sort par la peau, ça ne sert à rien de mettre une creme, oui, ce n’est pas mal, mais si on ne va pas enlever les toxines qui sont à l’intérieur et bien ça va continuer et si on ne va pas enlever la tension intérieure qui crée des toxines, une tension qui peut être un combat permanent ou alors une lutte contre soi-même ou une tension parce qu’on ne s’aime pas ou parce qu’on est bloqué dans un souvenir négatif, comme un traumatisme par exemple et bien ce symptôme va réapparaître, peut-être plus sur la peau là où on a mis la creme mais ça peut apparaître dans des maux de dos enfin plein de problemes, plein de problemes de maux dans différentes parties du corps.
Donc, il est important, oui de travailler sur le symptôme et aussi d’aller voir la cause profonde.
Alors, qu’est-ce que c’est la cause ?
Et bien, la cause souvent en fait ça va être une croyance, on peut appeler ça la croyance racine en fait, c’est la croyance, une croyance que nous avons adoptée à un moment donné, un point de vue sur le monde, un avis subjectif sur le monde qui nous a environné, enfin notre environnement qui était autour de nous et cette croyance, c’est aussi souvent sur soi et sur le monde, c’est-à-dire que, je suis seul par exemple ou on ne m’aime pas ou je ne suis pas capable ou je vais perdre quelqu’un ou ma vie va être un échec, c’est des croyances comme ça assez négatives souvent; évidemment, si j’ai ce genre de croyances en moi parce que, par exemple, j’ai eu un échec qui m’a marqué ou j’ai été abandonné et ça m’a marqué, j’ai été mémorisé par l’émotion et donc cette croyance racine qui est mémorisée, qui est vraiment profondément ancrée en moi va à un moment donné et bien va donner des mauvaises herbes en fait, va faire pousser tout un tas de symptômes et tant que je n’ai pas travaillé sur cette croyance racine et bien ça va continuer en fait.
Et on peut, j’ai remarqué et c’est fou comme l’être humain est capable pendant des années de ne pas le voir, d’essayer d’occulter ça, de travailler sur les symptômes ou de vivre avec les symptômes parce qu’on peut tres bien aussi s’accommoder du fait de fumer ou de mal dormir ou d’être anxieux ou d’être colérique ou d’avoir mal de tête régulierement mais à un moment donné, j’ai remarqué souvent, c’est plutôt vers quarante, cinquante ans, beaucoup de personnes vont se rendre compte que le symptôme devient tellement désagréable et bien qu’on ne sait plus comment quoi faire et on est obligé d’aller traiter la cause si vous voulez.
C’est un peu comme cette analogie que j’utilise parfois, que j’utilisais avant, que certains reprennent c’est en fait, imaginez que vous avez un fromage, comme vous n’aimez pas le fromage, vos parents vous ont donné un fromage à manger parce que vous êtes un petit garçon ou une petite fille et vous mettez ce fromage que vous n’aimez pas manger, pour ne pas montrer que vous ne le mangez pas, vous le cachez dans votre chambre en dessous du lit ou dans une armoire, en dessous de vêtements, etc…
Et donc, ok, c’est bon, vous l’avez caché, vos parents reprennent l’assiette, elle est vide et tout va bien sauf que vous oubliez un petit peu cette histoire et quelques jours apres il y a vraiment une odeur tres forte dans la chambre, le fromage en fait sent tres fort et ça vient de cette armoire, par exemple, où vous avez mis ce fromage.
Et donc, ce qui va être important pour vous, c’est de chasser cette odeur et donc on va travailler sur le symptôme c’est-à-dire : il y a cette odeur, il faut absolument que je fasse quelque chose alors je vais prendre du déodorant, que j’ai piqué, et je vais en mettre partout sur mes vêtements et partout dans cette armoire, là où il y a le fromage et tout d’un coup, ça sent moins fort.
Et, donc, je me dis et bien chouette, il n’y a plus de probleme !
Alors, bien, on a réglé le symptôme pour l’instant mais qu’est-ce qui va se passer : c’est que l’odeur va quand même revenir, à mon avis, et donc je suis obligé d’ouvrir les fenêtres constamment dans ma chambre pour ne pas que mes parents s’aperçoivent de quelque chose et puis, à un moment donné, même en ouvrant les fenêtres, même si j’ai froid, même si je mets des parfums, à un moment donné, l’odeur devient épouvantable et ça commence à sentir sur tout l’étage et puis apres dans toute la maison et à un moment donné, qu’est-ce que je suis bien obligé de faire, croyez-vous et bien, je suis obligé d’aller chercher ce fromage et de le jeter à la poubelle.
D’aller chercher quelque chose qui est de plus en plus désagréable à aller chercher et c’est souvent comme ça quand on attend longtemps avant d’aller voir les blessures qu’on peut avoir de la vie, ça devient tres désagréable, aller voir une tristesse ancienne ou une peur ancienne ,on peut vraiment avoir difficile comme on a eu difficile d’aller chercher ce fromage qui maintenant est complétement pourri, il y a des vers, ça sent tres, tres fort mais en même temps il faut le faire parce que si on ne le fait pas, et bien ça va encore empirer, ça va encore empester et donc c’est un peu la même chose.
Alors, l’analogie est un peu crue ici avec le fromage mais vous voyez l’idée c’est qu’à un moment donné ça devient insupportable de vivre avec le symptôme et le traiter ou s’en accommoder ne suffit plus et donc, qu’est-ce qu’on va faire : on va travailler sur la croyance.
La croyance qui est en fait le point de vue, la croyance que j’ai sur moi ou sur le monde, par exemple, on va toujours me laisser tomber, on va toujours essayer de m’avoir et la croyance est souvent accompagnée de quelque chose d’autre qui est fondamentale, c’est une expérience, en fait, qu’on a vécue, une expérience négative souvent, qui a été mémorisée et qui crée un état de tension en nous c’est pour ça que c’est négatif, ça crée un état de tension en nous, c’est une croyance, enfin une expérience où nous avons souffert en général et ça peut être voilà une perte de quelque chose ou un traumatisme, ça peut être une grande tristesse, ça peut être quelque chose qui a été tres, tres fort et qui est mémorisé et puis qui est placé un petit peu, on essaye de s’anesthésier par rapport à ça, on ne veut plus y penser parce que c’est tellement négatif et on s’en accommode et puis un peu comme ce fromage qui pue, on le met sur le côté mais en fait on développe quand même avec ce mécanisme de protection, des dysfonctionnements dans notre vie et l’idée en thérapie, comme en développement personnel, si on veut vraiment se développer , l’idée du développement personnel c’est de grandir, de se libérer de tout ce qui peut nous faire souffrir et bien, c’est d’aller chercher ça une fois pour toute, pas en parler pendant des heures et des heures, c’est juste y aller une fois et d’aller voir ce qu’il y a au fond de nous et qui crée tous ces symptômes donc aller vraiment voir la cause. Et qu’est ce qu’on va faire ? Ce qu’on peut faire, quelque chose qu’on peut proposer, car il y a plusieurs outils mais un outil tres simple et quand même tres, tres puissant et sans doute l’outil principal, c’est à chaque fois qu’on est mal, à chaque fois qu’on sent les symptômes qui arrivent, un mal de tête, des troubles du sommeil, une envie de manger compulsive ou une peur ou une tristesse qui nous vient comme ça sans raison, c’est de s’arrêter, c’est d’arrêter tout en fait et de faire quoi : et bien, de regarder à l’intérieur de soi, de sentir et d’observer.
Quand nous sentons et quand nous observons ce qui se passe en nous, et bien, ça arrête la pensée parce qu’on ne peut pas faire deux choses à la fois; on ne peut pas à la fois penser et être présent.
Si on est présent, on ne pense pas et si on pense et qu’on réfléchit à plein de trucs, et bien, on est coupé du présent; on n’est plus dans le présent, on est dans le futur ou le passé car la pensée nous amene toujours au futur ou au passé et donc quand je ressens ça, c’est présent en moi.
Il faut arrêter d’essayer de le nier ou de le noyer dans l’alcool ou se distraire parce que parfois on peut ne pas le sentir car on s’abrutit tellement de travail, comme le font certaines personnes, une façon de gérer les symptômes, c’est s’abrutir de travail par exemple, on est tellement épuisé qu’on ne sent plus le truc et l’idée ici c’est que je le sens; par exemple, encore ici récemment, j’ai eu une personne qui arrivait à la retraite et puis à la retraite, la personne à un moment donné se rend compte qu’elle est plus souvent seule, elle a plus souvent l’occasion de ressentir des tas de sensations dans le corps parce que avant elle était distraite par plein de choses; par le travail, abrutie par le travail, on peut presque dire ! Et là, les réactions arrivent, les symptômes arrivent et donc là, c’est tres, tres désagréable, c’est pénible et donc l’idée, c’est, plutôt que de tomber dans l’alcool ou d’essayer de trouver une autre solution pour ne pas souffrir, c’est simplement d’aller voir à l’intérieur et donc, je vous invite, si ça vous arrive et on a tous à travailler sur nous à ce sujet là; c’est de faire un stop, de fermer les yeux et de regarder à l’intérieur, de regarder ce qu’il se passe en nous et d’observer, non pas d’essayer de comprendre, non pas d’essayer d’analyser, ni d’essayer de juger, ni de mettre une étiquette, juste d’observer les sensations qui sont des sensations physiques en fait. Ce sont des sensations purement physiques.
Ce sont des énergies qui passent, ce sont des tensions, des crispations, c’est un poids, c’est chaud, c’est froid, ça bouge, ça peut être une tension dans le cou, ça peut être au niveau de la poitrine ou de l’estomac et observer ça, et, évidemment, que va-t-il se passer : c’est que ça va augmenter en intensité parce qu’on met un focus dessus donc on le voit beaucoup plus, ça va augmenter en intensité et une fois qu’on le ressent bien, alors on peut soit continuer à le sentir et à un moment donné puisque qu’on reste tres calme et que ce n’est plus lié à la source de ce mal-être qui est en fait une expérience ou une croyance qui a été enracinée, on est juste en train d’observer le symptôme sans le nourrir, si vous voulez et à un moment donné, que se passe-t-il et bien il va commencer à s’estomper, il va commencer à diminuer, il va commencer, en fait, à se dissoudre dans la lumiere de notre conscience, du présent.
Sinon, ce qu’on peut faire aussi, qui est tres intéressant, un autre travail optionnel, c’est qu’en fait quand on est mal comme ça c’est de se poser la question « au fond, qu’est-ce que je pense ? qu’est-ce que ressens ? »
Si je ressens de la tristesse, quand je dis « qu’est-ce que je pense ? « c’est « quelle est ma considération ?, qu’est-ce qui me vient ? , j’ai l’impression de quoi ?, qu’est-ce que je pense dans l’idée ?, comment est-ce que je vois le monde ? comment est-ce que je me vois ?, quelle est la considération que j’ai ? » dans cette tristesse.
Et par exemple, ça peut être, et bien, je suis seul au monde ou c’est comme si je ne pouvais pas faire confiance et je vais avoir une série de croyances, de pensées en fait, de points de vue subjectifs qui vont m’arriver.
Et en fait, souvent, ce sont ces réactions viennent de ces croyances et parfois de ces images, de ces souvenirs qu’on a et qui ont été conscientisés maintenant et qu’est-ce qu’on va faire ensuite, c’est qu’on va se poser une question fondamentale et je vous invite à vous la poser le plus souvent possible, c’est : une fois qu’on a compris maintenant que ce mal être vient, non pas du ciel comme ça, non pas parce qu’il s’est passé quelque chose dans mon environnement mais juste parce que j’ai une pensée, j’ai une croyance ou j’ai un souvenir (et un souvenir, ce sont des images, c’est aussi du mental); je vais me poser la question :
MAIS, QUI SERAIS-JE SANS CETTE PENSEE ? QUI SERAIS-JE SANS TOUT CA ? SANS TOUTE CETTE HISTOIRE QUE JE ME DIS LA ? QUE LES GENS SONT COMME CA, QUE JE SUIS COMME CA ? ET IL Y A EU CA ET CA VA RECONTINUER, QUI SERAIS-JE SANS TOUT CA ? QUI SUIS-JE SANS CETTE PENSEE ?
Et vraiment de se poser la question et de se rendre compte qu’en fait, et bien, qui on est sans tout ça et bien on va sentir à un moment donné qu’on serait beaucoup mieux déjà, ça s’est l’analyse mais on va le sentir; forcément, on serait mieux mais on va sentir quelque chose qui se libere en nous.
En fait, sans tout ça, sans cette pensée, si je ne pensais plus ça, si je n’avais plus ça dans ma tête « COMMENT JE SERAIS ?, et bien, JE SERAIS LIBRE, JE RESSENTIRAIS DE LA JOIE et ici je vous l’écris mais en fait l’idée n’est même pas de le verbaliser mais juste de le ressentir.
Si vous me posez la question, qui suis-je sans tout ça ? et il y a quelque chose qui vient et ce qui vient, c’est en fait une sorte de libération émotionnelle, une sorte de libération et en fait notre vraie nature qui peut apparaître sans cette histoire, sans tout ça et sans cette pensée; cette croyance dans ma tête « qui je suis ? » et en fait, c’est inutile de répondre qui on est car c’est encore une fois des mots mais on sent qu’il y a quelque chose, il y a une forme d’énergie en fait, c’est l’énergie de la vie qui apparaît et là, c’est important, c’est de la ressentir cette énergie de la vie, de la laisser couler en nous, de vraiment bien la sentir, de poser son regard dessus, d’où l’importance comme je l’ai souvent dit dans les vidéos et les résumés, c’est d’entraîner notre attention à observer, observer l’extérieur, oui certes, et surtout observer l’intérieur, observer les sensations et surtout observer dans ce cas-ci maintenant cette énergie de vie qui nous remplit et c’est une énergie qui va guérir en fait, un peu comme le soleil qui arrive en nous, comme si notre coeur devenait lumineux et qui va dissoudre l’obscurité et les taches d’obscurité qu’il peut y avoir en nous, un peu comme une lumiere qui va dissoudre comme si vous mettiez une bougie dans une piece, ça va éclairer toute la piece et donc là, vous allez vous apporter en fait par ce retournement, cette question concientisante et tres, tres intéressante qui est :
«MAIS QUI SERAIS-JE SANS CETTE PENSEE, SANS CETTE CROYANCE, SANS TOUTES CES HISTOIRES, SI JE N’AVAIS PLUS TOUT CA ?
Là, il y a une énergie de vie qui apparaît, qui rayonne en nous, qu’on va vraiment ressentir et qui va dissoudre et sans doute un jour la science nous expliquera, nous montrera qu’effectivement il y a une forme d’énergie qui permet de guérir, de détendre et de faire en sorte que les toxines du corps qui sont liées au stress soient évacuées beaucoup plus vite.
Alors, je vous souhaite de faire l’expérience car vous n’êtes pas obligé d’aller en thérapie pour le vivre, vous le pouvez le faire par vous-même, le vivre tout seul et donc je souhaite de vivre cette expérience et si vous pensez que ça peut inspirer d’autres personnes et bien ça me fera très plaisir de savoir que vous partagez la vidéo pour que de plus en plus de personnes puissent se libérer de la souffrance et accéder à un état de bien-être, un état de lumière pour vivre une vie qui vaut la peine d’être vécue.
Aimablement retranscrit par Danielle Rêve
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