Le Placebo c’est vous ! 2/4

Transcription de la nouvelle vidéo sur l’effet placebo, vidéo qui résume ce livre « Le Placebo, c’est vous ! ».

Nous allons parler de cet incroyable pouvoir guérisseur de notre esprit, on appelle cela l’effet placebo. L’effet placebo c’est quoi, ce sont des personnes qui vont prendre des médicaments dans le cadre d’une hospitalisation, dans le cadre d’une étude ou un médecin va leur donner des médicaments et ils vont guérir et en fait, il s’avere par la suite que leur guérison est due à simplement leur croyance parce que les médicaments ne contiennent aucun effet chimique, en fait, ce sont des pilules de sucre ou du liquide physiologique donc il n’y a aucun principe actif.

Alors, c’est incroyable comme on peut guérir avec du sucre, avec des croyances peut-être avec rien en fait, simplement avec la force de notre esprit et ce dont on va parler aujourd’hui.

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Donc, je vais continuer le résumé de ce livre qui est un livre écrit par le Docteur Joe Despenza, j’en ai parlé dans ma premiere vidéo, c’est un livre qui contient aussi pas mal d’études scientifiques avec des scanners du cerveau,avec différentes études car c’est un neuroscientifique qui montrent avant, apres, c’est-à-dire que les personnes qui prennent de l’effet placebo, on voit dans le livre des électroencéphalogrammes on voit  vraiment qu’il y a des changements physiques, physiologiques, chimiques, biologiques dans le corps humain suite à la création de croyances négatives ou constructives, on va parler de ça aujourd’hui justement.

Alors, j’ai oublié d’en parler la fois passée aussi, le Docteur Joe Dispenza, c’est comme ça que je l’ai connu personnellement, c’est une des personnes, un des scientifiques qui est  intervenu dans ce DVD, ce documentaire qui est sorti dans les années 2005, 2006 « WHAT THE BLEEP DO WE KNOW ! » en anglais, traduction en français « QUE SAIT-ON VRAIMENT DE LA REALITE ! », c’est un documentaire scientifique avec différentes scientifiques qui parle de physique quantique, d’épigénétique, de neuroscience et bien sûr l’effet placebo.

Et donc il est intervenu dans un deuxieme, ici c’est dans « LE TERRIER DU LAPIN » c’est la suite de ce documentaire qui nous montre les incroyables possibilités de notre esprit et donc, on est souvent mal informé, on est dans l’ignorance par rapport à la puissance qui réside en nous et c’est pour ça que je fais ces vidéos, pour vous  partager cette puissance qu’on devrait apprendre à l’école donc je vais  faire le travail à la place des autorités et donc, c’est juste tres modeste, c’est juste pour vous donner envie d’aller plus loin et de vous donner l’envie de lire ce livre et  d’explorer cette puissance qui est en vous.

On va parler aujourd’hui donc on va aller dans un autre chapitre car on va rentrer maintenant dans le vif du sujet, c’est la deuxieme vidéo et on va parler donc de ce pouvoir, de nos croyances.

Nos croyances qui font que nous pouvons completement nous rendre malades ou au contraire guérir. 

Les croyances qui font que nous pouvons avoir une vie tres malheureuse ou au contraire une vie tres heureuse, c’est vraiment l’attitude qui est la clé, on va le voir c’est d’ailleurs pour ça que j’ai fait, je fais une petite parenthese, j’ai fait une formation qui dure un mois sur l’attitude, j’appelle ça le coatching du bonheur pendant trente jours, je propose des entraînements qui durent quinze minutes par jour, on travaille sur différentes clés du bonheur notamment sur la confiance en soi, notamment sur le regard qu’on a sur le monde et tout ça nous permet d’avoir une vie plus heureuse, avec un entraînement intensif pendant 30 jours.

Si ça vous intéresse, le lien est en-dessous de la vidéo.

Alors, ce pouvoir que nous avons en nous, c’est un peu comme un couteau, ça veut dire qu’un couteau si on ne sait pas le manier, on peut se couper avec, on peut se faire beaucoup de tort, c’est un peu comme une grosse voiture que vous recevriez, imaginez que vous recevez une Ferrari sauf que vous n’avez jamais pu conduire, vous ne savez pas conduire et donc si vous essayez de conduire avec, vous allez faire des dégâts incroyables c’est ce que nous faisons avec notre esprit, si nous ne connaissons pas la puissance de notre esprit, nous ne savons pas l’utiliser; par défaut, l’être humain est en négatif par défaut pour plein de raisons dont je vais parler dans différentes vidéos et bien nous allons avoir completement l’effet, des effets indésirables dans notre vie et je vais vous donner quelques exemples c’est ainsi que commence le chapitre 1 du livre.

On va commencer à parler de l’effet nocebo, l’effet nocebo qui est exactement le contraire de l’effet placebo.

Alors, je vais vous donner quelques exemples, il y a un exemple qui est assez symptomatique, on le retrouve dans d’autres études de cas Vilko, c’est le cas de Sam Long, ça se passe aux Etats-Unis dans la banlieue de St Louis dans les années 1960 – 10 donc je traduis pour les Français et 1970 pour les Belges et les Suisses, c’est une personne qui a un cancer, c’est un retraité et il a un cancer métastasique de l’oesophage et à cette époque là, on n’en survit pas donc c’est une condamnation à mort quand on lui annonce qu’il a ce cancer, il le sait et on lui dit qu’il lui reste quelques mois à vivre et pour lui proposer de vivre le plus longtemps possible, on lui propose une chirurgie et donc et  il subit cette chirurgie donc je regarde en même temps le livre pour ne pas me tromper et donc qu’est-ce qu’on a remarqué c’est qu’on a fait une scannographie de son foie et on voit lors de cette chirurgie qu’il a également un cancer, tout le lobe gauche du foie est atteint d’un cancer généralisé donc il a deux cancers et donc, on lui dit qu’il lui reste quelques mois à vivre et  il est transféré dans un autre hôpital pour cette chirurgie et puis suite à la chirurgie, il ne va vraiment pas bien du tout, il est dans un état grabataire, il n’est vraiment pas bien et quand le médecin, le deuxieme médecin de l’autre hôpital le revoit, il est pris un peu de pitié, de compassion pour cet homme là et lui dit : qu’est-ce que je peux faire pour vous et puis il lui dit voilà, j’aimerais bien pouvoir vivre jusqu’à Noël; donc on est en octobre et j’aimerais pouvoir vivre jusqu’à Noël pour au moins voir ma famille et passer Noël avec mes enfants et ma famille et le médecin lui dit qu’il va faire tout ce qu’il peut pour ça et puis, donc il est en traitement et puis on constate qu’il va de mieux en mieux en fait jusqu’à Noël, il va de mieux en mieux et puis il passe Noël en famille effectivement puis quand il revient quelques jours apres donc il est revenu à l’hôpital et il est vraiment tres, tres mal, il est mourant, on est obligé de lui mettre une assistance respiratoire, il prend des antibiotiques et deux jours plus tard, il meurt.

Et vous me diriez, et bien là c’est un cas classique de cancer en phase terminale.

Hors, il s’avere quand on fait l’autopsie apres la mort que, en fait, il n’avait pas de cancer, il avait juste une minuscule nodule de cancer sur son lobe gauche et une petite tache sur son

poumon en fait, il n’avait aucun cancer virulent capable de le tuer, il avait juste ça et on voyait même qu’au niveau du foie, il n’y avait  aucune trace de maladie. Donc, en fait, il n’est pas mort d’un cancer de l’oesophage ni d’un cancer du foie.

Alors de quoi est-il mort, on peut se poser la question, ben est-ce qu’il n’est pas mort du fait qu’il croyait qu’il allait mourir, il y avait son médecin, son premier médecin qui croyait qu’il allait mourir, son deuxieme médecin qui n’a pas vérifié qui croyait aussi qu’il allait mourir, toutes les infirmieres qui croyaient qu’il allait mourir plus que ça, sa famille croyait qu’il allait mourir et encore plus que ça lui-même croyait qu’il allait mourir et donc est-ce qu’il est mort par le seul pouvoir de sa pensée, c’est vraiment une bonne question qu’on peut se poser, on voit là ce qu’on appelle l’effet nocebo qui fait que le fait de croire quelque chose en négatif, avoir des attentes négatives, des attentes négatives c’est par exemple quand vous lisez tous les effets secondaires d’un médicament que vous prenez et vous vous dites : oh la la, je n’ai pas envie d’avoir ça mais en fait on s’attend peut-être à l’avoir c’est-à-dire que je si je vous demande de ne pas penser à la tour Effel, ne pensez pas à la tour Effel, vous y pensez, je ne veux pas avoir ça mais en même temps ça rentre dans mon esprit et j’ai peur de l’avoir mais une partie de moi imagine que je pourrais l’avoir et donc en fait c’est ça cet effet placebo, c’est en fait cette capacité que nous avons de créer une réalité imaginaire, c’est tres proche de l’hypnose, on va faire des liens.

 

Alors, je vais vous parler d’un autre cas nocebo qui est tres intéressant aussi, vous allez voir, c’est vraiment des bons cas qu’il a choisi car ça m’aide à comprendre cette puissance  que nous avons en nous alors ce deuxieme cas.c’est assez amusant aussi quelque part, c’est quelqu’un qui est diplômé, qui a 26 ans, diplômé universitaire qui est en dépression, car il s’est disputé avec sa copine, ça ne va vraiment pas bien donc il prend l’antidépresseur, à un moment donné il est au téléphone avec elle et ça va tres, tres mal et puis là sous le coup du désespoir, il prend les 29 cachets d’antidépresseur d’un coup parce qu’il veut en finir, il veut arrêter cette souffrance.

Et puis, il tombe par terre, il se sent tres, tres mal, à un moment donné il a un sursaut de lucidité, il ne veut plus mourir, il se traîne, il rencontre quelqu’un, il dit ce qu’il a avalé, on l’amene à l’hôpital et puis là on le traite, on lui demande ce qu’il a pris, on va chercher le flacon et sur le flacon il y a des inscriptions mais les médecins ne connaissent pas ces inscriptions et ils se demandent ce que c’est  et pendant ce temps là, on voit qu’il est tres, tres pâle, il a une pression sanguine de 80/40, un pouls de 140 pulsations par minute, il a des troubles de l’élocution, il est léthargique donc ça ne va vraiment pas bien, on essaie de savoir quel est le médecin qui a prescrit ça et un médecin qui se présente quelques heures plus tard à l’hôpital et en fait ce médecin explique c’est un médicament placebo, ça veut dire qu’il n’y a rien dedans en fait comme je disais il n’y a rien dedans c’est un médicament placebo, on informe le patient et en quelques minutes tous ses symptômes disparaissent.

Alors, tout d’un coup, il peut de nouveau parler, il n’est plus léthargique, il est soulagé, son pouls revient à la normale, il n’a plus de somnolence, sa pression sanguine diminue, tout ça en quelques minutes donc ça veut dire quoi ? Ca veut dire que notre esprit est capable de maîtriser, d’avoir un contrôle, d’avoir un pouvoir sur notre chimie interne aussi fort, vous vous rendez compte parce que  c’est ce qu’on appelle le cerveau autonome parce qu’on ne peut pas consciemment sa pulsation, son coeur, tout ça se fait de maniere autonome et on voit qu’une partie de notre esprit qu’on appelle dans notre jargon à nous les hypnothérapeutes, le subconscient, l’inconscient, lui a l’impacte là-dessus et donc en fait nos pensées peuvent nous rendre malades, peuvent aussi faire en sorte qu’on va mieux, que des symptômes diminuent alors si ça marche en négatif comme je viens de montrer avec ces deux exemples, ça peut également marcher en positif.

On va voir maintenant deux, trois cas tres intéressants qui vont vous donner de l’espoir si vous n’êtes pas bien, si vous êtes un peu mal, si vous sentez que vous pourriez aller mieux si vous aviez un mental plus fort et bien on va en parler; je vais parler d’une décoratrice d’intérieur qui s’appelle Janice Confield qui est en dépression depuis son adolescence donc ce ne sont pas que des problemes physiques, ce sont également des problemes psychologiques, psychiques puisque ici on va parler de dépression, donc cette personne qui est en dépression depuis son adolescence à un moment donné à des pensées suicidaires, elle n’en peut plus et entend parler que pres de chez elle dans l’hôpital neuropsychiatrique de l’Université de Californie à Los Angeles, on apprend qu’on est en train de faire un essai clinique sur un nouvel antidépresseur qui s’apelle le Venlafaxine qui est en fait l’Effexor et donc elle espere beaucoup dans ce nouvel antidépresseur parce qu’elle ne va vraiment pas bien, je vous ai dit elle a des idées suicidaires et donc elle passe le test pour rentrer dans le groupe clinique, le groupe qui essaie ce nouvel antidépresseur, elle fait des électroencéphalogrammes, on constate effectivement qu’elle est tres, tres dépressive  et puis elle prend ce médicament, elle fait ça pendant 8 semaines et pendant 8 semaines, elle est toujours suivie au niveau médical, elle fait toujours ces électroencéphalogrammes et puis, en fait, elle se sent beaucoup mieux, pour la premiere fois de sa vie depuis son adolescence, elle va vraiment beaucoup mieux et ironiquement elle ressent aussi des nausées régulierement mais elle sait que quand on prend des vrais médicaments, on a des nausées.

 

Et, ce qui est incroyable dans cet exemple-ci, c’est qu’elle savait qu’il y avait un groupe placebo et un groupe qui prenait le vrai antidépresseur.

Il y avait un groupe qui prenait un faux médicament et un groupe qui prenait le vrai médicament, le vrai antidépresseur et elle savait qu’elle était dans un des deux groupes mais comme elle avait des nausées et comme elle allait vraiment beaucoup mieux, elle se disait et bien voilà je suis certaine d’avoir pris le vrai médicament, je suis dans le groupe qui a pris le vrai médicament et les infirmieres qui s’occupent d’elle sont aussi persuadées de ça.

Ce qu’il apparaît évidemment vous vous en doutez, c’est pour ça que j’en parle de cet exemple, c’est qu’elle a pris le placebo, on lui annonce qu’elle a pris le placebo, elle n’y croit pas, elle demande vérification, le médecin rigole parce qu’effectivement c’est noir sur blanc, elle est dans le groupe placebo.

Ca veut donc dire que ses croyances lui ont permis de sortir de sa dépression qu’elle avait depuis son adolescence, la croyance dans son médicament miracle et également son esprit était même capable d’aller créer des effets secondaires d’un supposé médicament qui en fait n’était qu’une pilule de sucre donc on voit là de nouveau la puissance de notre esprit et ce n’est pas la seule car dans le groupe dans lequel elle était, le groupe placebo, il y a 38 % des gens qui se sont sentis mieux, on le voit également au niveau des tracés de l’électroencéphalogramme, on voit vraiment qu’il y a une modification au niveau de la neurochimie du cerveau, de l’activité électrique du cerveau, on voit vraiment des modifications c’est-à-dire que cet effet il est tres, tres puissant et on voit effectivement que les gens qui ont pris le vrai médicament allaient mieux à 52 % donc 52 % le vrai médicament et 38 %, l’effet placebo.

Ce n’est pas loin de l’efficacité chimique d’un vrai médicament et dans beaucoup cas d’ailleurs, il s’avere que le placebo est même plus fort qu’un vrai médicament ce qui fait que le vrai médicament normalement doit être sorti du marché parce qu’idéalement pour qu’un médicament soit avalisé, il faut qu’il soit aussi efficace que l’effet placebo, ce qui n’est pas gagné en fait; le pouvoir de notre esprit est tellement puissant que c’est tres difficile d’avoir une efficacité aussi redoutable que cette puissance-là.

Cette croyance réussit à créer des véritables changements dans notre enveloppe biologique.

Je vais vous parler d’une deuxieme cas qui est tres interessant aussi et qui montre à quel point on peut vite se détruire ou se guérir tres rapidement avec ce pouvoir que nous avons en nous et je suis tres enthousiaste parce que je trouve ça fascinant, ce pouvoir que nous avons en nous, c’est le pouvoir de notre esprit en fait, c’est le pouvoir de nos croyances.

Alors, c’est en 1957, c’est rapporté aussi dans une étude aux Etats-Unis, c’est quelqu’un qui s’appelle Monsieur Wright qui est atteint d’un lymphome avancé c’est-à-dire qu’il est atteint d’un cancer des glandes lymphatiques et donc, il a des grosses tumeurs, grosses comme des oranges dans le cou, dans l’aine, sous les aisselles et donc il est fievreux, il a le souffle coupé et donc il est dans un état completement grabataire quand il arrive à l’hôpital, on ne trouve pas de traitement classique, ça ne fonctionne pas chez lui et donc ça se passe à Londwich en Californie et l’hôpital dans lequel il est fait partie des dix hôpitaux de centres de recherche dans le pays où on évalue un  nouveau médicament qui s’appelle le Krebiozen, un médicament expérimental issu du sang des chevaux et quand le patient apprend ça, il apprend que l’hôpital où il est étudie ce nouveau médicament et bien, il est tres excité et il insiste vraiment pour faire partie du groupe test d’essais cliniques et cet essai demandait des patients qui avait une espérance de vie d’au moins trois mois et on l’accepte malgré tout alors qu’il est vraiment  tres, tres mal et donc, il reçoit une injection, dans ce cas-ci, c’est une injection de Krebiozen, il reçoit pendant 3 jours, le vendredi, le lundi et le mardi et suite à ça, il se déplace alors qu’il ne se déplaçait plus, il rit, il est de bonne humeur, il plaisante avec les infirmieres donc, il est vraiment métamorphosé et puis ce qu’on constate apres 3 jours, c’est que les tumeurs, les grosses tumeurs, les tumeurs grosses comme des oranges fondent comme  neige au soleil, donc, il va beaucoup mieux et puis apres 10 jours, il peut même rentrer chez lui et donc on parle vraiment d’une guérison miraculeuse sauf que et là, on va passer maintenant du placebo au nocebo, on se rend compte qu’en fait enfin lui-même se rend compte deux mois plus tard parce que les médias en parlent que ce fameux médicament le Krebiozen était en fait un leurre, c’est un leurre et quand il lit ça dans les journaux, il est completement abattu ce patient-là, cette personne, Monsieur Wright, il est completement abattu et ces tumeurs recommencent à croître et donc il retourne à l’hôpital et le médecin qui l’a reçu le Docteur West voit qu’il est dans un état vraiment avancé, il est presque en phase terminale et il a l’intuition que ce qui l’a guéri effectivement c’était du placebo forcément puisque le médicament était un leurre, ça a été annoncé dans les médias et il a une intuition extraordinaire, il se dit : et bien, puisqu’il n’y a plus grand-chose à perdre, il lui propose ceci, il lui dit qu’en fait, les médias ne sont pas au courant de tout, les essais cliniques ont été faits avec un lot défectueux et donc, il déclare qu’ils vont recevoir une nouvelle version des médicaments qui va être deux fois plus efficace, qu’ils vont le recevoir ici à l’hôpital et qu’il sera traité en priorité.

Alors là, il est tres enthousiaste et donc quelques jours plus tard, il reçoit de nouveau une injection intraveineuse et fois-ci il n’y a rien du tout, il n’y a aucun médicament c’est simplement de l’eau distillée.

Le médecin se dit : on n’a plus rien à perdre, on va faire ça et se doutant, sans doute, que c’est l’effet placebo qui la guérit la premiere fois et effectivement c’est ce qu’il arrive, il retourne chez lui, il est tres content, il est vraiment heureux et, en fait, il retourne chez lui parce que de nouveau les tumeurs disparaissent petit à petit jusqu’à disparaître completement, ça dure pendant deux mois et puis, il apprend de nouveau par les médias que le médicament était en fait un canular, que ça contenait simplement de l’eau minérale avec un simple acide aminé et les fabricants ont été inculpés et quand il apprend ça, il est completement dévasté et clac, il retombe malade, il retrouve de nouveau ses larges tumeurs et en fait, il retourne à l’hôpital sans aucun espoir de guérison et il décede deux jours plus tard.

Donc, est-ce que c’est possible que l’esprit humain a ce pouvoir de nous guérir, nous rendre malade, nous guérir, nous rendre malade, comme ça deux fois de suite avec des modifications chimiques importantes, aussi importantes que celles que je vous ai décris et bien, il semble que

oui et donc est-ce que ça pourrait marcher également sur la chirurgie, c’est la question que pose Joe Dispenza, donc l’auteur du livre et il apparaît que oui, je vous assure c’est vrai; il y a effectivement des chirurgies placebo même si c’est interdit aujourd’hui, il y a des cas qui ont étés faits notamment en 1996, il y a un cas qui a été fait à Houston concernant la médecine orthopédique, c’est concernant l’arthrose du genou.

Donc, en fait, on opere des personnes, ça marchait tres, tres bien à l’époque, on opere des personnes d’une chirurgie populaire qui consiste à anesthésier le patient puis à pratiquer une petite incision afin d’insérer un instrument en fibre optique appelé « arthrotoscope » et ensuite il gratte et il rince l’articulation afin d’éliminer tous les fragments du cartilage qui  sont endommagés et donc c’est quelque chose qui marchait bien et puis on propose de faire une étude placebo et donc il y a 18 personnes qui sont étudiées avec une chirurgie placebo et donc qu’est-ce qu’on fait ? C’est qu’il y a un groupe où il y a vraiment une opération et un groupe où il n’y a pas d’opération.  Dans le groupe où il n’y a pas d’opération, qu’est-ce qu’on fait, c’est une chirurgie placebo c’est-à-dire qu’on ouvre le genou; dans le vrai groupe, on ouvre le genou et on va nettoyer, on va retirer les fragments du cartilage, dans le groupe placebo, on ouvre le genou, on ne fait rien et on referme le genou, simplement ça.

Alors là, vous vous dites mais bon factuellement ce n’est pas possible qu’ils aillent mieux et bien en fait, on se rend compte que les personnes qui sont dans le groupe placebo vont tres, tres bien, aussi bien que ceux qui ont eu la vraie opération, donc ils n’ont eu aucun lavage, ils n’ont eu aucun débris et il n’y a aucune différence dans les résultats et même six mois plus tard, on ne voit toujours pas de différence et six ans plus tard quand ils sont revenus, on les a interrogés, ces personnes déclaraient toujours marcher normalement, n’avoir aucun problème de mobilité.

Donc, là, on voit que c’est incroyable alors apres une autre étude en 2002 a repris ce protocole de chirurgie placebo et ça a été fait sur 180 patients avec le même résultat.  Donc les personnes qui ont eu effectivement la chirurgie placebo vont vraiment mieux.

Ca a même été fait dans les années cinquante sur les maladies cardiaques notamment sur une procédure chirurgicale qui s’ appelle la ligature de l’artere thoracique interne, ça intervient dans la chirurgie standard à l’époque dans les années cinquante de l’angine et donc qu’est-ce qui se passe ? C’est qu’on opere des personnes et dans le groupe placebo, les personnes qui doivent subir la ligature de l’artere thoracique interne en fait reçoivent un simulacre de chirurgie alors il y a des gens qui reçoivent vraiment la ligature de l’artere thoracique interne et les autres personnes reçoivent un simulacre de chirurgie ça veut dire simplement qu’on les incise et apres on recoud de nouveau l’incision donc il n’y a absolument rien eu comme opération.

Qu’est-ce qu’on se rend compte, c’est que 67 % des gens qui ont eu la véritable intervention chirurgicale ressentent moins de douleurs et donc prennent moins de médicaments et on constate que dans le groupe placebo, 83 % des gens qui ont eu le simulacre bénéficient de la même amélioration; ça veut dire que dans ce cas-ci, la chirurgie placebo a été plus efficace que la chirurgie réelle.

Bien sûr, ce n’est pas dans tous les cas évidemment.

Ca veut quand même dire quelque chose, ça veut quand même dire que tout est dans l’attitude tout est dans la croyance et c’est comme ça qu’il termine son chapitre c’est-à-dire qu’en fait l’attitude c’est la clé et il va le démontrer avec plein d’autres études, je ne vais pas toutes vous en parler mais en fait, on peut démontrer et en psychologie positive, on en parle beaucoup c’est que l’optimisme donc un état d’esprit optimiste est une clé pour guérir plus vite, pour vivre mieux, pour vivre plus longtemps avec une plus grande espérance de vie et aujourd’hui dans les études, on sait que l’état d’esprit optimiste est en fait une des plus grandes protections contre les maladies cardiaques, c’est d’avoir un état d’esprit optimiste, c’est vraiment indiqué clairement dans les études scientifiques, on sait à quel point c’est important.

On connaît aussi parallelement à ça, l’effet nocebo avec notamment le phénomene des nausées anticipatoires c’est-à-dire qu’en fait quand des personnes doivent prendre des médicaments qui sont sensés donner la nausée ou doivent faire une chimiothérapie et bien des personnes ont déjà des nausées à l’avance d’une maniere anticipative alors qu’elles n’ont encore pas pris de chimio ou n’ont pas pris de médicaments, elles ont déjà des nausées.

Ca veut bien dire qu’en fait nos attentes en quelque chose de positif ou en quelque chose de négatif ont des répercussions réelles sur notre physique, sur notre corps au niveau chimique, au niveau biologique au niveau même de l’épigénétique.

Il y a aussi des études, je ne vais pas toutes les écrire, mais ils parlent aussi de certaines études placebo sur la maladie de Parkinson qui montrent qu’en fait les personnes traitées avec du placebo et qui ont le Parkinson ont une amélioration énorme, jusqu’à 200 % de plus de dopamine, production de dopamines dans leur cerveau, ce qui fait qu’elles vont mieux, elles ont une atténuation des symptômes et elles ont une plus grande mobilité.

Tout ça nous renvoie en fait à cette puissance que nous avons en nous, de notre esprit et en fait si vous voulez, tout ce que vous mettez apres la phrase « je suis, je suis… » vous l’êtes; je suis en train de guérir, je suis en train de tomber malade, dans les deux cas, c’est vrai.

Ca veut donc dire que nous avons une puissance en nous qui n’est pas utilisée et par défaut, souvent utilisée dans le négatif; pourquoi je dis par défaut ? Parce qu’on sait aujourd’hui qu’en neuroscience que 80 % des pensées que nous avons sont les mêmes que la veille, que celles de l’avant-veille donc ce sont des pensées récurrentes et dans ces pensées-là, on a entre 60/10 %, 70 % ou plus de pensées qui sont négatives dans le sens qu’elles sont tournées vers le problème c’est-à-d’une qu’on va se concentrer sur le truc qu’on ne veut pas, le truc qui nous inquiete, le problème.

Et donc, c’est dans ce sens-là que c’est négatif et en se concentrant sur ce qu’on ne veut pas et bien, vous voyez qu’il y a beaucoup de chance qu’on le crée ou qu’on le reçoit en abondance !

C’est pour ça qu’on va parler dans la troisieme vidéo concretement de l’historique de l’effet placebo et comment ça fonctionne mais je vais vous inviter d’ici-là à réfléchir et à observer

dans votre quotidien sur quoi vous vous concentrez, comment fonctionne votre esprit, est-ce que vous êtes plutôt optimiste ou plutôt pessimiste, est-ce que vous êtes plutôt en train de vous concentrer sur tout ce qui ne va pas, sur ce qui vous inquiete, sur votre santé mais en négatif ou sur des choses constructives, ça, c’est vraiment fondamental et c’est pour ça d’ailleurs que j’ai fait cette formation sur le coatching du bonheur basée sur la psychologie positive et c’est basé sur ces qualités d’optimisme, la confiance en soit, le fait d’être dans le présent, le fait de faire face aux malheurs donc, il y a toutes des clés comme ça que j’ai identifiées pour le bonheur qui sont étudiées en psychologie positive qui vont parties de notre attitude et que nous pouvons entraîner et c’est pour cela que je propose cet entraînement, il dure 15 minutes par jour pendant 30 jours, c’est un entraînement intensif qui permet de reconfigurer votre cerveau.

Je vous invite en tout cas que vous preniez la formation ou pas, c’est d’observer comment est-ce que vous utilisez ce pouvoir extraordinaire que vous avez en vous, est-ce que vous l’utilisez pour vous concentrer sur tout ce qui ne va pas ou tout ce qui vous inquiete ou est-ce que  vous êtes en train de vous concentrer sur des choses qui vous élevent , qui vont faire en sorte que vous allez mieux, que vous allez guérir, que vous allez être plus joyeux ?

Je vous laisse sur cette réflexion !

La formation : http://bonheur-ou-stress.com/le-placebo-cest-vous-la-formation/


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